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Lac des Fées

Caché derrière un écran de verdure, le lac des Fées est l’un des beaux espaces naturels facilement accessibles depuis le centre-ville de Gatineau. Situé dans le parc de la Gatineau, il est devenu populaire dans les années 1920 avec l’essor de la pratique du ski de loisir.

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Chutes de la Blanche

C’est à la hauteur des chutes de la Blanche qu’étaient construites autrefois les scieries de Perkins dont on ne trouve plus aucune trace aujourd’hui. John Adams Perkins, un marchand de tissu américain, sera le premier à s’installer au nord de Templeton en 1845 et à exploiter le bois de la région. Le village de Perkins se développera petit à petit. Les chutes sont bien visibles depuis le pont qui enjambe la rivière, au bout de la montée Paiement, avant qu’elle ne rejoigne la route 366. On peut les admirer depuis le pont, mais aussi un peu plus au nord en traversant le petit parc aménagé juste à côté du pont.

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Lac Pink

Situé dans le parc de la Gatineau, le lac Pink est un lac méromictique, ce qui signifie que les eaux du fond et du dessus du lac ne se mélangent pas. D’une magnifique couleur turquoise, il doit son nom à la famille Pink qui s’est établie sur ces terres en 1826. Ce lac abrite un poisson particulier, l’épinoche à trois épines, laissé en héritage par la mer de Champlain qui recouvrait autrefois la région. Ce petit poisson d’eau salée s’est adapté à la lente désalinisation du lac et vit aujourd’hui dans l’eau douce. Un sentier pédestre fait le tour du lac.

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Parc des chutes Coulonge

C’est sur le site des chutes Coulonge, situé sur le territoire de Mansfield-et-Pontefract, que commencera la carrière de l’entrepreneur George Bryson, incontournable personnage du Pontiac, à la fin des années 1830. Il fera l’acquisition des terres entourant les chutes pour y construire entre autres un glissoir à bois qui lui permettra d’acheminer le bois coupé jusqu’à Québec.

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Chutes de Plaisance

Dans les premiers temps de la colonisation, au début du XIXe siècle, la famille Papineau s’associe à des entrepreneurs forestiers anglophones qui exploitent la scierie de Sault-de-la-Chaudière située près de Plaisance. Le Sault-de-la-Chaudière est l’une des chutes les plus spectaculaires de l’Outaouais avec des eaux qui s’engouffrent dans un chenal rocheux étroit pour retomber 67 mètres plus bas.

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Chutes Chaudière

Situées entre le secteur Hull de la ville de Gatineau et Ottawa, les chutes de la Chaudière étaient un lieu sacré pour les Algonquins qui y célébraient des cérémonies. Le site des Portageurs, aujourd’hui le parc des Portageurs, était un sentier de portage pour contourner les chutes ainsi qu’un lieu de rassemblement important.

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Parc du Lac Leamy

Le parc du Lac-Leamy, qui couvre 174 hectares, est le plus grand parc urbain de la région de la capitale du Canada. Ouvert en 1961, Il est entouré du lac Leamy, de la rivière Gatineau et de la rivière des Outaouais. Sur son emplacement, de nombreux rassemblements de peuples autochtones ont eu lieu pendant près de deux millénaires, soit entre 2400 ans et 500 ans avant aujourd’hui.

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Papineau

Lorsqu’en 1613, Samuel de Champlain remonte la rivière des Outaouais vers l’île aux Allumettes, il note une autre rivière, « fort belle et spacieuse », la rivière de la Petite Nation. Elle doit son nom aux Weskarinis, qu’on appelle aussi la Petite Nation des Algonquins, qui vivaient de chasse, de pêche et de cueillette et qui se rassemblaient l’été à l’embouchure de la rivière. Entre 1630 et 1650, les attaques répétées des Iroquois contre les populations algonquiennes vont pousser les Weskarinis à chercher refuge auprès des Français et à déserter les rives de l’Outaouais et de ses affluents en 1649. Tout au long des XVIIIe et XIXe siècles, des familles d’Algonquins et d’Iroquois reviennent sur le territoire des Weskarinis au moment où la rivière des Outaouais devient l’artère principale du commerce de la fourrure. Des postes de traite seront notamment établis à l’embouchure des rivières de la Petite Nation et du Lièvre.

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Rivière Kazabazua

La rivière Kazabazua, qui donne son nom à la municipalité, est un affluent de la rivière Gatineau. D’origine algonquine, le nom de la rivière est une déformation du mot kachibadjiwan qui signifie « rivière souterraine ». Depuis le village, sur le pont qui enjambe la rivière, il est possible de voir le cours d’eau disparaître sous terre. La rivière réapparaît à quelques dizaines de mètres en aval et s’écoule ensuite en rapides, puis passe sous un pont de pierre naturel.

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Terres humides de la rivière des Outaouais

À l’est de Gatineau, en bordure de la rivière, les terres humides de la rivière des Outaouais constituent un milieu de vie exceptionnel et abritent une variété remarquable d’espèces. Les marais et les marécages qui s’y trouvent offrent un habitat de grande qualité aux amphibiens et aux reptiles en plus de constituer une aire de nidification importante pour de nombreuses espèces d’oiseaux. Un projet de refuge faunique allant de la baie McLaurin jusqu’aux limites du parc national de Plaisance est en cours.

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Réserve naturelle du Marais-Trépanier

La réserve naturelle du Marais-Trépanier est située à environ quatre kilomètres à l’est de Masson-Angers (Gatineau), entre la route 148 et la rivière des Outaouais. S’étendant sur 247 hectares, cette réserve naturelle est un habitat de première qualité pour de nombreuses espèces faunistiques grâce à Canards Illimités Canada qui en a restauré les milieux humides. Bien que privée, la réserve naturelle du Marais-Trépanier a un statut de réserve naturelle reconnue depuis 2002.

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Centrale Masson

Située au nord de la rivière des Outaouais, la centrale Masson a été aménagée en 1933. L’eau est acheminée par un tunnel de 1,6 km reliant le barrage situé en amont à la centrale. Ses deux cheminées d’équilibre permettent de régulariser la pression de l’eau en emmagasinant le surplus d’eau en cas d’arrêt d’urgence des turbines. Elle est aujourd’hui exploitée par Énergie Brookfield. La bâtisse est inventoriée.

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Marais aux Grenouillettes

Entre les baies McLaurin et Clément, le long de la rivière des Outaouais, se trouvent des zones humides qui abritent de nombreuses espèces animales dont plusieurs sont menacées et vulnérables. De petits sentiers permettent de se promener dans les marais des Laîches (ouest et est) et aux Grenouillettes pour y observer la flore et la faune. On y accède par le boulevard Maloney Est.

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Auberge Symmes

Située sur les berges du lac Deschênes et de la rivière des Outaouais, l’auberge Symmes a été construite en 1831 pour Charles Symmes, fondateur d’Aylmer et neveu de Philemon Wright, fondateur de Hull et arrivé en 1900. Il était destiné au logement de voyageurs en provenance de Montréal qui devaient débarquer à Wrightstown, aujourd’hui Hull, en raison de l’infranchissable chute des Chaudières. Ils prenaient alors la diligence et empruntaient le chemin historique d’Aylmer jusqu’à l’auberge Symmes pour y passer la nuit.

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Site des ruines de la Centrale Deschênes

Les rapides et le lac Deschênes sont situés sur la rivière des Outaouais, entre le secteur d’Aylmer de Gatineau et l’ouest de la ville d’Ottawa. Le site des rapides Deschênes est connu pour être le troisième portage ou « portage du haut » sur la rivière. Important lieu de passage, le site sera exploité dès les débuts de la colonisation avec l’installation d’une scierie, d’une forge et d’un moulin à foulon par l’entrepreneur Ithamar Day.

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Hull

C’est aux abords immédiats de la chute des Chaudières que s’établit en 1800 la petite colonie dirigée par l’entrepreneur américain Philemon Wright. En un siècle, les vastes forêts qui couvrent les alentours font place à une ville industrielle dont la morphologie évoluera au fil des activités économiques, des incendies à grande échelle et des décisions politiques. Les témoignages du riche passé industriel de Hull sont au coin de chaque rue tandis que ses parcs situés en bordure des plans d’eau rappellent que la région possède également une histoire encore plus ancienne.

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Collines-de-l’Outaouais

Au nord de Gatineau, les collines de l’Outaouais ont vu arriver les premiers colons anglophones dès les années 1830. Activités agricoles et exploitation forestière vont baisser en intensité au XXe siècle pour accueillir les premiers vacanciers et amateurs de plein air venus en train. La vocation touristique de la région ne s’atténuera pas avec la création du parc de la Gatineau dans les années 1930-1950. On peut aujourd’hui découvrir fermes et églises au détour d’un rang ou au bord d’un lac, ou encore marcher dans les pas des vacanciers du siècle précédent pour apprécier les établissements touristiques centenaires et les maisons bourgeoises dans une nature exceptionnelle.

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Draveurs et ouvriers

Les premiers agriculteurs de la région vont devoir bûcher l’hiver pour survivre et l’exploitation forestière sera bientôt la première industrie en Outaouais avec ses camps de bûcherons et ses draveurs qui font franchir aux billes de bois des centaines de kilomètres de rivières, de chutes et de lacs. Dans les villes, les scieries et les usines de pâtes et papiers vont transformer cette matière première, employer des milliers d’ouvriers et d’ouvrières et contribuer à l’édification de fortunes énormes. On retrouve les traces de cette histoire industrielle depuis les quartiers ouvriers de Hull jusqu’aux anciennes installations le long des rivières. De nombreux circuits patrimoniaux à travers la région permettent d’appréhender les difficultés de la drave ou de la vie des ouvriers d’alors.

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Destination nature

La région de l’Outaouais compte de nombreuses rivières et des lacs par milliers, des collines et des vallées verdoyantes, des forêts denses et populeuses, des parcs naturels en milieu urbain et des parcs nationaux et fédéraux, des marais et des milieux humides le long de ses cours d’eau et une faune et une flore diversifiée et riche. Quels que soient le temps dont vous disposez et le mode de déplacement que vous avez choisi, vous aurez un vaste choix de lieux d’exploration, sans compter les circuits patrimoniaux qui font la part belle au patrimoine archéologique et naturel de la région.

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